Pégasus Epargne : des épargnants non remboursés

Pégasus Epargne

Le Cabinet défend des clients non remboursés

Des demandes de remboursement demeurées sans effet

La société Pégasus Epargne basée en France a durant plusieurs années promis à de nombreux investisseurs, souvent par l’intermédiaire de conseillers en investissements financiers ou en gestion de patrimoine, des rendements attractifs d’au moins 4,90% par an, prétendument garantis.

Là encore, de nombreux clients n’ont malheureusement non seulement jamais perçu ni les intérêts promis, ni même le remboursement de leurs investissements pouvant être de plusieurs dizaines de milliers d’euros et représentant souvent les économies de toute une vie.

 

Le Cabinet assiste et défend des clients non remboursés 

Des faits susceptibles d’être constitutifs d’infractions pénales. 

Les faits peuvent apparaitre susceptibles de revêtir notamment une qualification pénale, notamment d’escroquerie, le cas échéant en bande organisée, de pratiques commerciales trompeuses, de faux et usage de faux …

Absolute Return Fund (ARF) Trust et autres Fonds d’investissement défaillants : le Cabinet défend des clients non remboursés

Absolute Return Fund (ARF) Trust et autres Fonds d’investissement défaillants :

Le Cabinet défend des clients non remboursés

Des investissements non remboursés malgré les promesses

Plusieurs fonds d’investissement ont promis à des clients des gains très attractifs mais non honorés.

Ainsi le fonds ARF Trust (« Absolute return fund ») de la société américaine Alter Management LLC a durant plusieurs années promis à de nombreux investisseurs en France des rendements mirobolants prétendument garantis.

Le fonds ne bénéficiait d’aucun agrément de la part de l’Autorité des marchés financiers française.  De nombreux clients n’ont malheureusement non seulement jamais perçu les intérêts promis, mais n’ont jamais été remboursés de leurs investissements.

Le site internet qui indiquait les performances supposées du fonds et les gains virtuels des clients n’a ultérieurement plus été accessible.

Comme les investisseurs concernés, de nombreux clients d’autres fonds ayant investi des sommes parfois considérables se trouvent aujourd’hui dans une situation critique.

Des conseillers en investissement financier ou en gestion de patrimoine ont pu les proposer.Les banques ont, de leur côté, pu ne pas alerter leur clients sur les risques encourus.

Le Cabinet assiste et défend, au civil comme au pénal, les clients non remboursés de Fonds d’investissement défaillants

Des faits susceptibles d’être constitutifs d’infractions pénales. 

Les faits peuvent effectivement apparaitre susceptibles de revêtir une qualification pénale, notamment d’escroquerie, le cas échéant en bande organisée, de pratiques commerciales trompeuses, de faux et usage de faux etc.

Aristophil : le Cabinet défend des parties civiles au procès pénal de 2025

Aristophil : le Cabinet défend des parties civiles au procès pénal de 2025

Affaire Aristophil : le procès correctionnel

Après une longue période de dix ans d’instruction, l’affaire « Aristophil » a donné lieu à près de 4  semaines d’audiences devant le tribunal judiciaire de Paris qui, lors de son délibéré prévu au 11 décembre 2025, se prononcera spécialement sur les infractions d’escroquerie en bande organisée et de pratiques commerciales trompeuses.

Les faits concernent l’achat en indivision de manuscrits (de Proust, Baudelaire, Sade etc), et de lettres anciennes présentés aux acquéreurs comme de nature à leur garantir un rendement d’environ 8% par an sans risque.

Plusieurs conseillers en gestion de patrimoine et conseillers en investissement financier ont proposé le produit. Les souscripteurs sont en France, mais aussi en Belgique, en Allemagne, en Italie etc.

Au début des années 2000, la société Aristophil affiche un chiffre d’affaires de plusieurs millions d’euros. Les sommes promises comme le remboursement des investissements n’ont cependant pas été honorés.

La presse présente l’affaire, concernant des milliers de personnes, comme le « procès du siècle ».

Un espoir de justice pour les parties civiles

Ont été renvoyés en correctionnel notamment le dirigeant de la société Aristophil, cette société en tant que personne morale, mais aussi plusieurs autres personnes physiques dont les dirigeants d’un réseau de conseillers en gestion de patrimoine, un notaire, un libraire, un expert-comptable, un avocat…

Les prévenus encourent des peines pouvant aller jusqu’au dix ans d’emprisonnement et une amende.

Après plusieurs années d’une longue attente, les parties civiles, de leur côté, demandent réparation et sanction. Le préjudice est évalué à plusieurs centaines de millions d’euros.

Le Cabinet assiste et défend dans ce procès des parties civiles.